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Montrer ses faiblesses n’est pas toujours facile, mais témoigne d’une véritable force. Cela demande de l’honnêteté envers soi-même et les autres, ainsi que la volonté d’accepter de l’aide. Car parfois, le plus courageux est de renoncer à vouloir être fort-e à tout prix et de reconnaître ses limites.

L’optimisation de soi a colonisé notre quotidien. L’objectif de ce paradigme, en toute logique, est de vivre longtemps et sainement. L’activité physique, le sommeil et l’alimentation – soutenus parles technologies intelligentes – jouent un rôle important à cet égard. Or, il est désormais prouvé que les individus ont besoin d’autres individus pour rester en bonne santé. 

La vue, l’ouïe, l’odorat, le goût, le toucher: nos sens provoquent des sensations, nous font vivre des moments intenses et réveillent des souvenirs. Loin d’être des récepteurs passifs, ils façonnent notre réalité en nous révélant, en influençant nos décisions, en éveillant nos désirs et en créant des liens avec les autres.

Avoir un mental fort, mener une vie active, déborder d’énergie: c’est  l’idéal qui prédomine actuellement.  Le corps, l’esprit et, surtout, leur interaction jouent un rôle essentiel dans ce tableau. En effet, un corps entraîné est encore plus performant avec un mental fort. De même, nous avons meilleur moral lorsque notre corps est en forme. Et la bonne humeur stimule les défenses immunitaires.

Savoir ce qui nous fait du bien est une compétence clé pour prendre soin de notre santé. Elle nous aide à trouver les routines qui favorisent notre équilibre psychique, à vivre avec une maladie grave ou à enrichir notre quotidien avec des habitudes saines, que ce soit par l’alimentation ou certaines pratiques.

Il y a beaucoup de vrai dans le proverbe «Mieux vaut prévenir que guérir». Car plus nous écoutons les besoins de notre corps et nous en soucions, que ce soit grâce au sport, à la détente ou à une alimentation équilibrée, plus notre santé nous en sera reconnaissante.

Comprendre son corps et son psychisme aide à mieux prendre soin de soi. Et si l’on a moins besoin de se rendre chez le médecin, on réduit activement les coûts de la santé. Garder les rênes de sa propre santé est un sentiment rassurant, y compris en cas de maladie.

Les femmes viennent de Venus, les hommes de Mars. On nous a suffisamment rebattu les oreilles de clichés de ce style. Et pourtant: il y a bien une petite différence qui peut, justement, faire toute la différence en médecine et en psychologie. De nos jours, le genre est un sujet qui ne cesse de gagner en importance. Et c’est une bonne chose.